Une nouvelle étude canadienne préconise de relever à 5ng/ml la limite légale du taux de THC admissible pour la conduite

Selon cette étude, les conducteurs/trices présentant de faibles niveaux de THC dans le sang ne présenteraient pas de risque plus élevé d’avoir un accident que les abstinent.e.s. L’auteur souligne que la loi canadienne, qui pénalise actuellement le fait de conduire avec plus de 2ng/ml de THC dans le sang, pourrait être abusive.

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